Rassurez-vous, je ne vais pas écrire un billet sur l’état de ma pelouse que j’ai semé ce printemps et qui ressemble maintenant à un condensé de mauvaises herbes. Manifestement je suis maudit question gazon…
Je vais vous parler d’une autre malédiction, celle de la loi des séries. Des séries télé bien entendu, vous m’aviez compris n’est-ce pas ?
Après l’ennui provoqué par la saison 2 de Zone Blanche et avec Acquitted me voila aux prises avec Flash, la saison 3 que je finirai pas.
Les personnages se bousculent grâce aux multi-univers, Terre 2…Terre 19, se mélangent dans une seule réalité et les bidouillages temporels de notre héros mettent une jolie pagaille dans sa réalité. Cette fois nous avons quatre supersoniques dont le méchant Savitar, dieu de la vitesse, Kid Flash et la fille du professeur Wells. Il y a aussi cette histoire de Flash Point tordue qui est au cœur de la série puisque la petite chérie de Barry, Iris, risque de passer à la casserole. C’est également le grand retour de Grodd le gorille savant et de ses congénères en colère, et ça on s’en serait bien passé. On note également l’arrivé d’un petit nabot de Poudlard.
Cette saison 3 me donne l’impression de faire appel à un algorithme de génération aléatoire de scénarios d’où le titre de ce billet. Si au début l’histoire se tient, elle part rapidement en coquillettes, tentant de se raccrocher tant bien que mal au Flash Point. L’histoire d’amour Barry Iris est toujours aussi peu convaincante sans parler des autres amourettes, papa West, Wally et Francisco.
Il n’y a que la nouvelle incarnation du Docteur Wells, un débile sympathique avec deux sticks qui donne encore à cette série un peu de piment.