Field Of Crows

Avec son look à la Morpheus dans une peinture de Van Gogh, la pochette de Field Of Crows m’a toujours tenté. Il s’agit pourtant d’un des albums de la discographie du poisson que je ne possédais pas. Car oui, je n’ai pas tous les disques de Fish. Il faut vous avouer que j’ai boudé pendant longtemps sa carrière solo, qui après un début fulgurant, s’est quelque peu embourbée avant de revenir avec un magnifique A Feast Of Conséquences en 2013.

Me baladant dans les rayons de mon disquaire d’occasion, soudain je me suis dit, et si je complétais mes albums de Derek William Dick, un peu comme une envie de pisser (passez moi l’expression). Coup de chance pour le portefeuille, ils n’en n’avaient qu’un. Me voila donc plongé dans les cuivres Richard Sidwell et Steve Hamilton sur la musique très rock de Fish. Dire que je suis emballé serait exagérer mais il s’écoute bien, particulièrement ‘Numbers’ et ‘Exit Wound’.

Toujours chez mon donneur de seconde vie, j’ai trouvé le second album du chanteur et guitariste de Airbag, Bjorn Riis, dont je parlais justement avec Robin du label Apollon Records la semaine dernière. Forever Comes To An End est un album dans la veine de Lullabies in a Car Crash que mon chroniqueur de l’époque n’avait pas franchement adoré mais que pour ma part j’avais beaucoup apprécié. Et vu que j’ai le premier en CD, je continue la collection même si je ne vais pas tarder à avoir un gros problème de rangement dans cette maison. Ce sera la cinquième écoute de la matinée car je bosse aussi sur une chronique (Quantum Fantay) et que dans le tram j’ai fait deux écoutes des nouvelles promotions arrivées (Radio Moscow et Project Renegade) afin de procéder au tri sélectif habituel.

Et puis, en retournant vérifier pour la quatrième fois le contenu de la boite aux lettres (ma femme dit que je suis un grand malade, je suis un grand malade), je tombe sur un paquet surprise (grand malade oui, n’empêche que j’ai bien fait). C’est l’album que tonton alias m’a recommandé (enfin il a posté une chronique sur son blog), des petits suisses Gervais qui jouent un Katatonia en plus musclé et bien sympathique. Je ne le chroniquerai pas, car comme je l’ai déjà expliqué, une fois que j’ai lu la critique d’un confrère, je ne peux plus vraiment considéréer ma plume indépendante.

Cela va me permettre d’attendre de Steven Wilson plus sereinement. Il est dans un camion, entre un entrepôt et la maison. Mais avec le 15 août et tout ces feignants qui font le pont, il risque d’arriver assez tardivement, peut-être même après sa date de sortie. Par chance je ne l’ai pas vu à la Fnac, sinon j’aurai pété un câble.

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