Mario Kart

Un des jeux que j’adore chez Nintendo, c’est Mario Kart. Des courses folles à quatre dans la même pièce avec les hurlements qui vont bien, les bousculades et fanfaronnades, c’est trop bon. 

Rien à voir avec les parties en ligne.

Mais voilà les enfants ne jouent presque plus avec leur vieux père qui leur a pourtant tout appris. Et Mario Kart en solo, c’est quand même moins fun.

Alors Nintendo a pensé à moi en concevant Mario Kart Live. C’est un Kart miniature doté d’une caméra et piloté par la Switch. Une voiture radio commandée dirait mon épouse.

Présenté ainsi, jouer à Mario Kart Live pourrait être considéré comme extrêmement régressif pour un quinquagénaire. 

Mais le jeu est bien plus que cela. Avec des bouts de cartons, vous balisez un circuit dans votre intérieur. A l’aide du Kart et de la Switch vous le parcourez une première fois pour en établir le tracé et là, vous pouvez jouer. Championnat avec des adversaires virtuels, contre la montre et même course en ligne.

Vous voyez, ça change tout, ce n’est pas une simple voiture radio commandée, d’autant que vous, sur l’écran de la Switch, vous voyez par les yeux de la caméra embarquée.

Virtuel et réel s’affrontent ici. Un champignon à l’écran fait bondir le kart quand un pied de table le stope brutalement. En mode championnat, avec les bots, la météo, les éléments de décor et l’intérieur du salon, l’affichage devient très vite confus et il n’est pas rare que le monde réel rattrape la course virtuelle en se prenant une plinthe, un tapis ou votre propre pied posé sur le parcours.

J’ai commencé par un modeste circuit autour du piano, six ou sept mètre linéaires limités par un tapis infranchissable et des virages à quatre-vingt-dix degrés. Puis je l’ai étendu au salon TV avec un passage délicat de seuil de porte et un virage acrobatique. Enfin j’ai envahi une troisième pièce, là où j’écoute de la musique, un chemin encombré de canapés, d’une table basse et d’un tabouret avec un nouveau seuil franchissable uniquement à haute vitesse. Un parcours dans 50 m2, fait de virages en épingles, de tapis à éviter, de passage sous des tables basses et des voltaires, sautant au passage seuils de porte, poursuivi par un chat fou la queue en panache et les yeux complètement paniqués.

La liaison Bluetooth avec la tuture peine parfois dans cet espace rempli d’obstacles, ça n’ajoute que plus de piment à l’aventure et les chocs dans les pieds de chaises, dans les murs sans parler d’éviter le précipice qui mène la cuisine (une simple marche) sont de nouveaux défis à relever. 

Alors ma chérie râle un peu parce que j’envahis déjà le salon lors de mes vidéos et que maintenant je joue aux petites voitures dans tout le rez-de-chaussée. Mais elle s’habituera à cette nouvelle lubie, d’autant qu’il se peut que je m’en lasse assez vite quand même.

C’est ça la société de consommation que voulez-vous. 

3, 2, 1. Partez !

Irrésistible

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J’ai posté cette image un soir où je jouais encore une fois à Animal Crossing. 

Zeb était dans son quatre pièces cossu, en train de réaménager la salle de répétions quand je l’ai vu : un gars ébouriffé en combinaison spatiale entouré d’instruments de musique dont il ne sait pas jouer. 

Alors j’ai immortalisé cet instant dont la légende devrait être plus exactement irrécupérable…

Cinquante-quatre ans passés, zéro ambition, je joue encore à ce jeu débile pour gamins et rêve toujours des mêmes sujets : l’espace et la musique.

Et vous n’avez pas tout vu chez Zeb : une chambre remplie de meubles en bois, un salon cosy avec une Hifi vintage et machine à expresso ainsi qu’une salle de bain à la marocaine. Il lui manque encore une bibliothèque et une guitare électrique et sa vie sera parfaite.

Sur la petite île de Bréhat, Zeb collectionne les poissons, les insectes, les fossiles et les oeuvres d’art. Il parle peu à ses voisins, surtout les sportifs qui jouent des altères et aime bien les grognons et les louves. Il s’est battu pour faire venir Kéké et ne va même pas à ses concerts du samedi soir. Lorsqu’il croise les autres insulaires, il les bouscule pour aller plus vite. Il courre toujours, incapable de se poser une seconde. Un hyperactif ! Lorsque quelqu’un désire quitter l’île, il l’encourage. Je l’ai même vu dénoncer un voisin innocent juste pour le plaisir. Un asocial !

Le matin il fait le tour de l’île, ramassant des coquillages, cueillant des fruits, cherchant des fossiles et son arbre à clochettes. Il court ensuite au musée faire expertiser ses trouvailles, les donner au conservateur puis il file au magasin vendre ses trésors. L’argent gagné, il l’enterre pour faire pousser un nouvel arbre à clochettes et avec ce qu’il reste, il se fait plaisir et rembourse un peu ses dettes. Ensuite il décore sa maison, joue de la batterie, pêche pour trouver des pneus de voiture et quand vient la nuit il sort regarder les étoiles. Car il rêve de se construire un rover lunaire et pour cela il lui faut quatre pneus, des étoiles filantes et un peu de ferraille. C’est son unique ambition, avoir un rover lunaire.

Les jours où Zeb est énervé, il prend l’avion pour une île lointaine et détruit tout sur place. Il abat les arbres, arrache les fleurs, attrape les insectes et les poissons, casse les rochers et creuse des trous partout. L’île paradisiaque devient un champ de bataille. Un fou ce Zeb. 

Les jours où Zeb est très énervé, il rêve de faire pareil avec Bréhat, juste pour le plaisir de tout foutre en l’air, mais Heureusement je veille au grain et coupe la console avant qu’il ne fasse rien d’irrévocable avant de prendre moi-même mes médicaments.

Zelda Crossing

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Cela faisait un bail que je ne vous avais pas parlé de la Switch, ça vous a manqué ? Il faut dire que j’ai boudé un peu le catalogue fait de reprises diverses et avariées. Je me suis essayé à la démo de Captain Toad son conviction, j’ai ignoré Donkey Kong Country, Fifa 18 je n’en parlerai même pas à mon voisin, mais je surveille quand même Okami parce que ce jeu est un pur chez d’oeuvre, Mario Party parce que c’est un incontournable des fiestas entre copains.

Par contre je suis tombé sur Yonder, un jeu d’aventure dans un monde ouvert, fait pour les non gamers. Pas de combat, un monde assez vaste, c’est un mix entre Zelda et Animal Crossing. Un monde tout mignon tout gentil, plein d’animaux, de plantes, de gens, de villages mais avec quand même des zones d’obscurités. Vous vous baladez, jouez des petites quêtes pas compliquées, il fait jour, nuit, il pleut, le soleil brille, c’est mignon tout plein, ça ne prend pas la tête et impossible de mourir. Vous récoltez des trucs, vous pêchez, vous cassez des cailloux, abattez des arbres, récoltez des métaux, vous les échangez, vous construisez, Animal Crossing je vous dit, sauf que l’univers est bien plus vaste. Les graphismes n’ont pas la finesse de Zelda et de temps à autres, le jeu lague quelques centièmes de seconde, mais rien de dramatique.

Le genre de jeu auquel on joue après une rude journée de travail, en attendant un rendez-vous chez le dentiste ou pendant une coloscopie.

Dans ma Switch n°6

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Je vous vois venir, vous disant ça y est, après Dans mon iPhone n°XXX dont il nous bassine toutes les semaines, il va nous casser les couilles avec sa Switch. Ben oui et non.

Le titre du post était juste provocateur, je n’achète pas assez de jeux pour tenir une chronique hebdomadaire sur la Switch, même si le catalogue de celle-ci est vraiment très riche.

En fait, je devrais tenir un webzine sur la Switch, Nintendo m’enverrait en avant première tous les jeux, je jouerais avec, écrirais une chronique et je ne vivrais que de musique et de jeux vidéos. Je pourrais également tenir un blog Nikon, je recevrais toutes les boîtiers et optiques compatibles, les testerais et écrirais des chroniques. Quel pied ! Et si je faisais un blog sur les call girl ?

Bon je me disperse là…

Vous avez bien compris que je commence des jeux et que je ne les termine presque jamais. J’aime la nouveauté, je n’y peux rien, et comme je n’ai pas beaucoup de temps libre, je ne finis pas grand chose, y a qu’à voir mes enfants.

Donc quoi de neuf dans la Switch ? Après de fabuleux jeux arrive l’heure des déceptions. Dans le catalogue très fourni, Nintendo propose entre autre du rétro gaming à 5 € et des petits jeux à 20€.

J’avais téléchargé Alpha Mission II pour NeoGeo histoire de retrouver le fun de ma jeunesse perdue, Rime un magnifique jeu d’exploration énigmes aventure, mais ce qui me manquait, c’était un jeu pour voler.

Car je suis un astronaute raté, je rêvais d’aller dans l’espace, ou du moins de piloter un avion. Donc dès qu’un simulateur de vol simple se pointe il faut que je l’essaye.

Dans leur genre j’ai téléchargé Inner Space, sorte de planeur dans un monde psychédélique incompréhensible, aussi incompréhensible que les objectifs du jeu, à utiliser sous acides je pense. Puis le catalogue s’est étoffé d’un Island Flight Simulator, jeu facile qui vous emmène d’îles en îles pour des missions de transport de fret.

Graphismes affligeant, pas de tutoriel, simulation à deux balles, le Flight Pilot sur iPhone est gratuit et bien plus sexy. Mais voila j’y joue quand même et souvent pour tout dire. Pour l’instant le jeu n’a aucun intérêt, soyons clair, tu accepte une mission, tu fais le plein, tu marche jusque l’avion, tu décolle, tu vole, tu atterri, tu repars et voila. N’empêche que je joue à cette daube. Ça ne prend pas la tête, chaque mission dure peu de temps et je peux aller pisser pendant que l’avion vole vu qu’il ne se passe rien. Le truc parfait après une journée de travail harassante.

J’ai téléchargé également la démo de Dragon Quest Builders, mélange de Dragon Quest et de Minecraft.

Je n’ai jamais joué à Minecraft, pas plus qu’à Dragon Quest. Les puristes affirment que ce jeu met à mort les deux licences, moi j’ai adoré la démo. Un des rares trucs que j’ai terminé d’ailleurs. Imaginez un RPG simpliste associé à un jeu de construction de cubes. La démo vous propose de reconstruire un village en ruine, de trouver à manger, de défendre les deux habitants et d’explorer un vaste monde. Il y a des monstres, des montagnes, des jours, des nuits, il faut manger, dormir, se battre, parler, inventer, construire, le truc est tellement addictif que je me demande si je ne vais pas recommencer la démo, pour le plaisir.

Reste la question fondamentale, la seule qui vaille la peine d’être évoquée, vais-je acheter le jeu, sachant que je finirai pas m’en lasser tôt où tard ?

La chasse est ouverte

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Caché derrière le muret je vise le lapinou embusqué quelques mètres plus loin. Paf  ! Dans ta tronche, bien fait ! Je me relève et fonce sur lui. Prends ça bouffon ! Je le bouscule, saute dans les bras de ma belle et d’un habile salto avant me propulse un étage plus haut, près d’une canalisation d’égout. Le premier qui bouge se prend un pruneau.

La chasse est ouverte !

Oui j’ai finalement craqué pour le dernier jeu de Nintendo, Mario + Rabbits. Un jeu au tour où vous combattez en équipe pour libérer le monde de méchants lapins crétins mutants transformés suite à l’utilisation malencontreuse d’un casque de réalité virtuelle. Quatre mondes sont proposés, dans lesquels votre équipe de trois aventuriers devra affronter des lapins très crétins armé de blasters lourds. Le principe de Kingdom Battle ressemble un peu à Worms : choix de l’équipe, choix des armes, déplacement, attaques, actions spéciales. Les purs gamers ne s’y retrouverons sans doute pas. Le jeu est assez facile (du moins le premier monde), chaque bataille peu être rejouée à l’infini jusqu’à enfin la réussir parfaitement et les batailles finissent par être répétitives à la longue.

Mario et les Lapins Crétins

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Les bruits allaient bon train concernant une double licence Mario et Lapin Crétins. La voici : Mario + The Lapins Crétins Kingdom Battle, un jeu qui sortira sur la Switch fin août. Inutile de vous dire qu’il s’agit d’un indispensable, Mario, Luigi, Yoshi et princesse Peach sont des incontournables de Nintendo et le premier Lapins Crétins sorti sur WII est le must have des jeux débiles sorti sur cette console, j’y ai passé des heures, voyez le résultat…

Des combats au tour à tour dans quatre mondes avec des énigmes en prime, de quoi occuper les longues journées de rentrée quand les ados auront enfin repris les cours.

Nous pourrons compter également sur un Super Mario Odyssey, un Kirby, un Yoshi, un Pokemon, un Rocket League, un Fifa, un Fire Emblem… Oui je sais, je n’ai pas fini Zelda, je ne dépasse pas le championnat 100 CC à Mario Kart et je n’ai même pas commencé le mode histoire de Bomberman et alors ?

 

Mariokart est arrivé

Après le fabuleux Zelda, que je n’ai pas fini (un seul boss pour l’instant, il en reste quatre), le Bomberman que j’ai à peine commencé en mode histoire, le Snipperclips auquel j’ai bien joué, voici le Mariokart 8 qui arrive sur la Switch. Bien entendu, je l’ai réservé, rien que pour avoir la peluche de Yoshi et surtout pour être certain de ne pas, comme pour la console, me retrouver le bec dans l’eau.

Mariokart est de retour, un des jeu les plus funs de la firme nippone, 48 circuits, des parties solo, à 2, 4, 8 ou même 12 joueurs en ligne. Mais comment jouer avec ces micro manettes ? Impossible, à moins d’avoir de toutes petites quenottes. Donc nous revoilà lancé dans la course aux accessoires que j’avais interrompue avec la WII au grand soulagement de mon grenier. Bigben, une fois encore, nous a sauvé avec son ControlKit pour Switch (encore un machin en plastique noir, moche mais indispensable). En solo, pas de problème, mais à deux, avec les joycom, la prise en main n’est pas aisée, soyons honnête. L’acquisition de nouvelles manettes s’impose pour réussir les circuits 200 cm3.

Le WE a été consacré à gagner tous les championnats en 50 cm3 (facile) et quelques un en 100 cm3, à jouer quelques parties en réseau, faire des batailles et à chercher la meilleur configuration kart/roues/voile en fonction des circuits. Le jeu est fluide, certains circuits fabuleux, je regrette juste pour l’instant les arènes de bataille assez peu adaptée à l’exercice. Il ne manquait que ce jeu pour que je range la WII au grenier. Un grand débat familial vient d’être lancé pour savoir si nous devions la revendre avec les jeux ou la conserver. Pour l’instant, il y a ballottage entre les parents et les enfants, le chat s’étant abstenu… La démocratie, c’est toujours compliqué, même pour une console, alors imaginez dimanche prochain !

Snipperclips

Plus stupide que ça tu meurs. Snipperclips est un des jeux disponibles dans la boutique Nintendo de la Switch. Deux personnages ridicules, un graphisme simplissime et des mini jeux débiles de un à quatre joueurs. C’est pour cela que j’ai craqué pour la nouvelle Nintendo, pour ces jeux totalement ridicules, à jouer à plusieurs, qui permettent des parties de rigolade sans fin.

Le principe ? Comment dire, ben vous avez deux bonhommes qui peuvent bouger à droite et à gauche, sauter, dont le corps patatoïde peut tourner. Et donc ? Quand les deux bonhommes se recouvrent partiellement, l’un peu croquer une partie de l’autre, autorisant des découpages cocasses. Et alors ? Alors, à l’aide de ces actions basiques, il va falloir accomplir des tâches ridicules comme marquer un panier, éclater des ballons, déplacer des œufs, tout ceci en mode coopération.

Les mini jeux se débloquent au fur et à mesure de votre progression. Aucune aide n’est fournie et parfois, avant de comprendre ce qu’il faut faire, il se passe quelques secondes. La coopération est tout le sel de ce jeu, où quand votre binôme se loupe honteusement rien n’est plus jouissif que de le dévorer pour manifester votre énervement.

Et alors cette Switch ?

Les geeks qui lisent la presse doivent crouler sous le nombre d’articles concernant la petite dernière de Nintendo, la Switch. Moi-même, je n’y échappe pas, il faut dire qu’après de belles résolutions qui n’ont pas duré, j’ai craqué. Commandée sur la boutique en ligne d’une grande surface, elle m’a coûté, avec deux jeux, 60 € moins cher que dans une boutique spécialisée, hallucinant et en plus il m’ont offert un étui de transport !

Qu’est-ce cette console, et pourquoi un tel engouement ? Vous connaissez la magnifique PS Vita de Sony, et bien la Switch, c’est un peu la version XXL de la dernière portable de Sony. Une console portable avec un écran de 6.2 pouces qui, placée sur son dock, devient une console de salon. Certes son look est nettement moins sexy, surtout lorsque vous détachez les manettes, là elle est juste moche. Elle reprend cependant les bonnes idées de la Wii avec ses manettes façon Wiimotes à savoir qu’elle sont détachables, bardées de boutons et équipées pour détecter les mouvements.

L’interface utilisateur est épuré et conviviale. Pour l’instant, pas de gadgets inutiles comme un APN, un navigateur Web ou des outils sociaux. C’est une console de jeu. Pas une bête de course non plus, les gamers devront continuer de jouer sur XBox One , PS4 ou PC survitaminé (ok quelques vieux geeks ont également des Mac, mais c’est une exception). Cependant si vous jouez au Zelda, vous apprécierez la fluidité des animations. Elle chauffe un peu, souffle également, mais rien d’insupportable. Il semblerait que la manette gauche donne du fil à retordre avec des déconnections intempestives, à condition pour cela de jouer loin de la tablette, rien de dramatique là encore. Certains parlent de pixels morts sur l’écran et Nintendo qui ferait semblant de ne pas trouver cela important, de mon côté, j’ai compté, ils sont tous allumés.

Les jeux se présentent sous forme de petits cartouches, comme la PS Vita et la boutique en ligne propose déjà quelques titres dématérialisés comme le Bomberman, d’anciens jeux à petit prix. Dans le futur catalogue il y a aura Mario Kart et d’autres titres phares de Nintendo, bref, ça démarre bien.

La prise en main surprend tout d’abord, avec ces petites manettes (Joy-Con) qui finalement tiennent bien dans les patounes (si elles ne sont pas des battoirs). Il existe trois manières de les utiliser : accrochées à la tablette, version console portable, détachées, version wiimote (mettez les dragonnes !) et reliées entre elles façon manette de gamer. Vous avez le choix. La tablette, qui est tactile, peut se poser comme un écran TV, mais ne vous en éloignez pas trop tout de même, ça n’est pas une télévision 70 pouces non plus.

Le jeu 1-2 Switch est juste débile, un truc histoire de faire mu-muse avec les manettes dix minutes ou pour délirer en buvant des bières avec des amis. Breath Of The Wind, le nouveau Zelda, lui est d’une toute autre trempe, un Zelda dans un vaste monde que vous pouvez parcourir librement, graphiquement très réussi, fluide, bref addictif.

Pour l’instant, ce qui m’éclate, outre la nouveauté, c’est de pouvoir passer d’une console portable à salon d’un geste (poser la chose sur le dock) et de renouer avec les jeux Nintendo à plusieurs, en famille, car je ne suis pas un vrai gamer, j’aime m’amuser avec des amis sur une console et pas via Internet, ensemble sur le canapé en mangeant de chips et en se refilant des coups de coudes pendant une partie de Bomberman ou de Mario Kart.