Au début du mois, je suis reparti dans les rues de Strasbourg avec mon appareil photo. Cela faisait longtemps que je ne m’étais pas prêté à cet excercice. Je n’ai réalisé qu’un seul cliché ce jour là, qui mérite, d’après moi, un développement. Ce sera la dernière photo de cette série. Mais je me suis dit que ce serait l’occasion de retravailler quelques images plus anciennes dont je n’étais pas totalement satisfait.
Et voici la photo prise au début du mois. Elle est le fruit du hasard. Initialement je voulais photographier les deux personnes assises sur les bancs mais de nombreux touristes passent à cet endroit. Je me sus dit qu’intégrer d’autres personnages dans la composition pourrait être interessant et j’ai eu la chance de déclencher au bon moment avec ces deux enfant parfaitement symétriques par rapport aux deux autres personnages.
Nikon Z8, Nikkor Z 24-70mm 2.8s, 1/100s, f/6.3, ISO 160, 49 mm
Au début du mois, je suis reparti dans les rues de Strasbourg avec mon appareil photo. Cela faisait longtemps que je ne m’étais pas prêté à cet excercice. Je n’ai réalisé qu’un seul cliché ce jour là, qui mérite, d’après moi, un développement. Ce sera la dernière photo de cette série. Mais je me suis dit que ce serait l’occasion de retravailler quelques images plus anciennes dont je n’étais pas totalement satisfait.
Cette seconde photo a été prise lors d’une manifestation de fonctionnaires en 2018. Le contraste entre la personne faisant la manche dans le froid sous la pluie et ces fonctionnaires chaudement couverts qui réclamaient la revalorisation de leur point d’indice me semblait interessante à mettre en lumière. Sauf que je n’avait pas réussi à mettre en valeur le sujet principat en voulant tout montrer. Le format carré résout le problème.
Nikon D7200, Sigma 18-35 mm, 1/100s, f/4.0, ISO 200, 35 mm
Les loisirs ont un prix. Je ne parle pas ici d’achats dispendieux mais d’espace.
Mon épouse, à elle seule, occupe deux pièces pour ses instruments de musique sans parler du bureau où elle travaille. De mon côté, avec la musique, la photographie et l’astronomie, j’ai également besoin d’espace mais je suis plus raisonnable. Je n’occupe que la chambre de notre aîné qui vit aujourd’hui dans un appartement (bon aussi un peu le salon pour écouter de la musique et travailler sur l’ordinateur).
Cette chambre sert à de multiples usages. C’est là que j’expose les Lego, que je range les bandes dessinées, que j’entrepose le matériel photo et tout le matériel dédié à l’astronomie. C’est aussi là que j’enregistre les vidéos de Chroniques en Images chaque semaine.
Lorsque j’ai arrêté de filmer avec un fond vert, j’ai dû trouver un décors. Au début, je mettais des tirages photos au mur et des engins spatiaux en Lego sur les étagères. Ça n’était pas trop raccord avec le thème des vidéos mais au moins, cela me ressemblait.
J’ai remplacé les photos par des affiches et posters de rock puis j’ai ajouté quelques pass presse au mur. Ensuite j’ai déplacé les fusées et installé l’ampli et la guitare en Lego. C’était plus raccord.
Puis j’ai enlevé les fusées comme la Saturne V, la Falcon Heavy et le V2 ainsi que quelques sondes spatiales pour installer des coffrets de musique comme les Beatles, Marillion ou Ayreon. C’était plus dans le thème.
Tant qu’à changer, j’ai également revu l’éclairage car je trouvais l’arrière plan très froid, surtout avec ce papier peint aquarium que je déteste (au passage il faudrait vraiment que je refasse cette pièce un jour). Pour l’éclairage, j’ai opté pour des LED à température variable que j’ai depuis assez longtemps. J’ai choisi une température chaude orangée pour le fond et une key light à 5600 K. Et j’ai décidé d’assumer la présence du micro dans le champ de la caméra, c’était trop pénible de le placer hors champ, il y avait toujours un petit bout le la bonnette qui dépassait.
Du coup, j’enregistre au milieu de legos, de Gaston Lagaffe, d’objectifs, de trépieds, de posters d’adolescents, de projecteurs, de montures équatoriales et d’un télescope. Une vraie salle de jeu qui me ressemble assez bien.
Au début du mois, je suis reparti dans les rues de Strasbourg avec mon appareil photo. Cela faisait longtemps que je ne m’étais pas prêté à cet excercice. Je n’ai réalisé qu’un seul cliché ce jour là, qui mérite, d’après moi, un développement. Ce sera la dernière photo de cette série. Mais je me suis dit que ce serait l’occasion de retravailler quelques images plus anciennes dont je n’étais pas totalement satisfait.
On commence avec la manifestation Festi Gays de 2021 à Strasbourg en pleine pandémie. Un cortège coloré et festif sous le soleil printannier pendant lequel j’ai capturé et publié beaucoup d’images. Mais pas celle-ci, que je n’avais d’ailleurs pas développé à l’époque. J’ai opté pour le noir et blanc, comme souvent en photographie de rue malgré les vives couleurs des banderoles et des vêtements.
Nikon D810, Tamron 70-200 mm, 1/250s, f/11, ISO 360, 170 mm
L’an passé, avec mon épouse, nous sommes allés au parc animalier de Villars les Dombes près de Lyon. La visite de la serre aux papillons, aussi brève fut-elle, m’a donné l’occasion de réaliser quelques photographies de ces insectes colorés, éphémères et fragiles. Ici pas de macro-photographie, je n’ai aucun objectif calibré pour cela, mais de la proxy, c’est à dire l’usage d’un téléobjectif à la plus grande focale et un sujet assez éloigné de la lentille.
Ce papillon, un citrix vitraillus maronicus (vous l’aviez reconnu bien évidemment), s’est posé sur un éclairage du plafond de la serre. Il s’agit de ma photographie préférée des trois. Je trouve l’image assez surréaliste même si pour l’obtenir, il a fallu beaucoup pousser certains curseurs au développement.
Nikon Z8, Nikkor Z 24-200 mm, 1/30s, f/6.3, ISO 64, 200 mm
L’an passé, avec mon épouse, nous sommes allés au parc animalier de Villars les Dombes près de Lyon. La visite de la serre aux papillons, aussi brève fut-elle, m’a donné l’occasion de réaliser quelques photographies de ces insectes colorés, éphémères et fragiles. Ici pas de macro-photographie, je n’ai aucun objectif calibré pour cela, mais de la proxy, c’est à dire l’usage d’un téléobjectif à la plus grande focale et un sujet assez éloigné de la lentille.
Vous ne pouviez échapper à une image monochrome, même pour un papillon. L’insecte, accroché à une branche, les ailes vers le bas, me semblait un bon sujet d’étude d’autant que le fond disparaissait dans la lumière. Il ne bougeait pas, par chance, car malgré les 1/24 de seconde, le boitier est monté à 9000 ISO.
Nikon Z8, Nikkor Z 24-200 mm, 1/25s, f/6,3, ISO 9000, 200 mm
L’an passé, avec mon épouse, nous sommes allés au parc animalier de Villars les Dombes près de Lyon. La visite de la serre aux papillons, aussi brève fut-elle, m’a donné l’occasion de réaliser quelques photographies de ces insectes colorés, éphémères et fragiles. Ici pas de macro-photographie, je n’ai aucun objectif calibré pour cela, mais de la proxy, c’est à dire l’usage d’un téléobjectif à la plus grande focale et un sujet assez éloigné de la lentille.
La serre était chaude, humide et très sombre. Les papillons voulaient dans tous les sens et ne s’arrêtaient pas souvent pour se poser d’où des réglages assez extrêmes d’autant que l’optique que j’avais emmené pour le week-end n’était pas des plus adaptée à ces conditions.
Donc lorsqu’un papillon se posait, j’en profitais pour l’immortaliser tout en cherchant un décor le mettant en valeur. Mon sujet est un papillonus naranja flyus (heu oui, un papillon orange quoi, je n’y connais rien en insecte), posé sur des fleurs. Le contraste des couleurs justifiait la photographie.
Nikon Z8, Nikkor Z 24-200 mm, 1/1000s, f/6.3, ISO 7200, 200 mm
Il y a souvent un assez grand décalage entre mes photos à succès et celles que j’aime le plus. Chaque semaine je publie sur Flickr trois images et parfois l’une d’entre elle touche le jackpot. Je vais vous présenter deux de ces images à succès et celle que j’aurai aimé voir plébiscité mais qui a fait un bide monumental.
Mais la photographie dont je suis le plus fier, c’est celle du Martin Pêcheur, mon premier Martin Pêcheur. Elle n’a été mise que 37 fois en favoris, ce qui n’est pas si mal, mais étant donné le mal que je me suis donné pour faire le cliché, je trouve le résultat un peu décevant. Pour moi, c’est ma plus belle photo de l’année un point c’est tout.
Nikon Z8, Nikkor 200-500 mm 5.6, 1/500s, f/11, ISO 1000, 1000 mm
Il y a souvent un assez grand décalage entre mes photos à succès et celles que j’aime le plus. Chaque semaine je publie sur Flickr trois images et parfois l’une d’entre elle touche le jackpot. Je vais vous présenter deux de ces images à succès et celle que j’aurai aimé voir plébiscité mais qui a fait un bide monumental.
Je suis un peu plus fier de la tempête, une photo prise lors d’un orage cet été. Le front nuageux, capturé de la porte de la maison sous une pluie battante était de base impressionnant et le traitement dramatique que je lui ai conféré sous Lightroom m’a beaucoup plus comme à pas mal d’abonnés de Flickr.
Nikon Z6 II, Nikkor Z 24-70 mm 2.8s, 1/50s, f/5.0, ISO 125, 70 mm
Il y a souvent un assez grand décalage entre mes photos à succès et celles que j’aime le plus. Chaque semaine je publie sur Flickr trois images et parfois l’une d’entre elle touche le jackpot. Je vais vous présenter deux de ces images à succès et celle que j’aurai aimé voir plébiscité mais qui a fait un bide monumental.
L’île a été prise en Sardaigne au lever du jour. Une image des plus classique dans sa composition comme dans son sujet qui pourtant a obtenu un vif succès auprès de la communauté Flickr. Mon seul mérite sur ce cliché, c’est de m’être levé chaque matin aux aurores pour capturer le lever du soleil. Elle a été vue plus de 9000 fois et a été mise plus de 300 fois en favoris.
Nikon Z8, Nikkor Z 24-200 mm, 1/80s, f/7.1, ISO 64, 200 mm, format d’image DX