Les cygnes

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Les cygnes sont trois tours situées au bout du bassin d’Austerlitz sur les presqu’île Malraux. Je voulais utiliser les planches du pont pour créer de la perspective et de la texture avec à l’horizon ces trois tours. L’appareil est posé au sol, une manière de regarder la ville que j’aime beaucoup. Une fois encore j’ai fait le choix du noir et blanc très contrasté avec ces ciels où le bleu devient presque noir sans assombrir les nuages. Il semblerait que ce soit de plus en plus ma signature noir et blanc. Je n’arrive pas à me contenter du ciel que me propose la nature…

Nikon Z6 II, Nikkor Z 24-70 mm 2.8, 1/160s, f/11, ISO 100, 24mm

Asiair Plus

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J’ai donc équipé mon télescope d’un ordinateur pour gérer le pilotage, la photographie et le guidage de la monture. Je pensais me simplifier la vie mais pour l’instant je galère comme pas possible. 

L’ordinateur en question est un Asiair Plus 32 couplé à une caméra de guidage ZWO 120 Mini et le Nikon Z6. Beaucoup de câbles… L’idée était d’assurer un guidage fin du télescope puisque manifestement, avec un Schmitt Cassegrain ouvert à f/10, c’est compliqué.

Mes deux premières tentatives se sont soldées par des manœuvres incompréhensibles et dangereuses du télescope. La monture, au lieu de pointer l’objet demandé, s’égarait dans la voute céleste à la recherche de je ne sais pas quoi. Je me suis même retrouvé avec le tube pointé vers le sol. Bref.

Après avoir suivi un excellent tuto sur Youtube, j’ai modifié la manière d’alimenter la monture qui passait initialement par l’Asiair. Car d’après les informations glanées ici ou là, il semblerait qu’il faille d’abord mettre en station la monture puis allumer l’Asiair et non l’inverse. N’empêche que ça ne fonctionnait pas, jusqu’à que je comprenne que l’ordinateur utilisait le boîtier photo pour se repérer dans le ciel, et comme il réalise des clichés de courte durée, il est nécessaire de booster les ISO pendant cette phase. Et la miracle, l’Asiair a pointé les objets demandés avec une excellente précision.

Par contre l’autoguidage apportait plus d’erreurs à la monture que sans l’utilisation de la caméra. Mes photos en autoguidage ressemblaient a des filés d’étoiles merdiques. C’est là que j’ai trouvé un autre tuto, en français pour le coup, sur l’autoguidage. Un tuto pour « débutant » heureusement car je n’en ai pas compris la moitié avec ses formules, calculs et explications. Par contre, j’ai bien compris que je l’y prenais comme un manche. Vous savez cette habitude de ne pas lire la notice et d’essayer tout de suite, quitte à faire après quelques ajustements. Ben en astronomie, mieux vaut lire la notice.

Le dernier test, un dimanche soir frisquet, était nettement plus prometteur. Après une rapide mise en station, la monture a pointé la galaxie d’Andromède du premier coup et l’autoguidage a fonctionné également. J’ai fait une dizaine de clichés de trente secondes sans filé d’étoiles, un record, par contre l’Asiair semblait avoir des problèmes de dialogue avec l’appareil photo. Je pensais que cela venait du wifi de l’iPad puis du câble USB mais je pense que c’est lié à la mise en veille du boîtier.

Dans le même temps, j’ai commandé une pièce imprimée en 3D à mon fils pour fixer l’Asiair directement sur la monture afin d’y accrocher une nouvelle lunette guide ZWO. L’idée c’est de monter mon APN avec un objectif 500 mm ouvert à f/5.6 au lieu du télescope 2032 mm ouvert à f/10 et de piloter l’ensemble via l’Asiair. Cela en ferait une lunette pour l’astrophoto d’assez bonne qualité à moindre coût.

Le déport de l’Asiair sur le côté avec la lunette guide posée dessus s’est révélé une très mauvaise idée. La monture était complètement déséquilibré en déclinaison rendant impossible n’importe qu’elle recherche d’objet dans le ciel, même après un très bon réglage. J’ai dû renoncer à la petite pièce en PLA conçue par mon fils et opter pour un bricolage plus hasardeux qui remet l’Asiair et la lunette guide au centre de gravité de la monture.

Y a plus qu’à tester…

La conque

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La conque est une de mes rares photographies couleur de la Presqu’île Malraux. Mais là, pour le coup, le choix s’imposait par le contraste entre la sculpture en bronze et le bâtiment en briques. Il s’agit de l’armement Seegmuller, rien à voir avec la guerre mais plutôt l’armement des péniches naviguant sur le Rhin à l’époque. Trois bâtisses rouges et blanches avec des silos dans l’une desquelles fut construite la médiathèque André Malraux en 2008.

Le cliqué a nécessité pas mal de contorsions pour obtenir cette perspective. Je n’ai toutefois pas réussi à trouver le bonne symétrie avec les bandes blanches verticales.

Nikon Z6 II, Nikkor 24-70 mm 2.8, 1/250s, f/11, ISO 125, 24 mm

Soen à la Laiterie

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Oui, j’ai enfin vu Soen en live !

Je ne compte plus le nombre de fois où ils sont passés près de Strasbourg sans que je puisse aller à leur concert. Mais cette fois c’est fait.

Soen jouait à la Laiterie à Strasbourg le mercredi 18 octobre et c’était mon premier concert depuis très très longtemps. Je n’avais pas encore eu le temps d’écouter leur dernier album Memorial sorti que quelques clips déroutants et c’est donc en live que j’ai découvert leur nouvelles compositions musclées. Et je suis venu en touriste, sans pass presse, ni matériel photo, juste un iPhone pour profiter pleinement de la soirée tant attendue.

Mais revenons au concert. 

A 19h30, les romains de Terra ouvraient la soirée, trois gars avec des dreads et un chauve, guitaristes percussionnistes batteurs chanteurs qui dès le premier titre captent mon attention. Ils arrivent sur scène et débutent le show par un trio de percussions qui va donner le ton d’un set très rythmique. Leur musique est tribale, world et metal et si leurs instruments ne rendent pas toujours honneur à leur musique, le résultat en live est saisissant. Pour ne rien gâcher le batteur chanteur Daniele possède une voix très intéressante et plus ils avancent dans les morceaux, plus je suis happé par leur musique. C’est donc décidé, à la fin du concert, j’irai m’offrir leur album.

Molybaron poursuivait la soirée. Si je ne connais pas le groupe plus que ça, j’ai déjà écouté leur dernier album et, je n’aime pas, mais pas du tout en fait. Je suis quand même resté au premier rang pendant leur performance, histoire de ne pas perdre ma place durement gagnée (pas tellement en fait, la grande salle de la Laiterie coupée en deux n’était pas bondée). Tout vêtus de noir, avec des instruments noirs, le quatuor se lance dans son set glacial à la rythmique très carrée, au son de guitare étranglé, un métal violent et aseptisé comme je le déteste. Si le groupe est né en France, leur chanteur est irlandais et s’exprime donc en anglais avec un accent plutôt ricain. Le gars n’a pas le profil d’une bête de scène et pourtant c’est ce qui va sauver leur show. Molybaron ne joue pas à l’économie sur scène et ça fonctionne assez bien en live. Techniquement les gars assurent vraiment. Leur jeu est précis, léché, presque trop en fait. Sur leur set d’un peu moins d’une heure, je ne rentre vraiment que ur deux titres sans pour autant grimper au rideau. Il faudra que je les réécoute à l’occasion mais clairement, je ne suis pas fan.

Et puis vers 21h30, c’est Soen qui monte sur scène. Rho putain Soen ! Je pars en vrille dès les premières notes. Oui je sais, c’est puéril à mon âge, mais j’étais aussi agité que les quatre bambins installés au premier rang sur ma gauche. Joel et sa voix me mettent en transe comme les soli de guitare de Cody. Leur groupe est venu faire la promotion de Memorial, un album très différent des précédents et que je n’avais encore pas écouté. C’est donc en live que je découvre leur nouveau bébé nettement moins mélodique que les précédents où Joel ne joue plus au crooner danseur mais au chanteur de metal.

De temps en temps ils intercalent des tubes de leur discographie et là je suis à chaque fois en extase, avec la petite larmichouillette au coin de l’œil. Oui je suis comme ça moi. 

Il y a du jeu de scène, ça bouge de droite à gauche et de gauche à droite, seul Martin en hauteur derrière ses fûts reste imperturbable, faut dire il a du boulot lui. On a droit à des soli de basse, de guitare, du chant à capella et la voix grave de Joel qui s’adoucit parfois pour devenir complètement envoûtante. Si le groupe donne la part belle au très metalleux Memorial – faut bien vendre le dernier album – il n’en oublie pas les classiques et au final leur set est très équilibré avec en plus une balance parfaite et un son pas trop fort. J’ai même pu enlever mes bouchons d’oreille pour profiter pleinement de la voix de Joel.

Après trois titres en rappel dont le fabuleux ‘Lunacy’ et ‘Violence’, le groupe tire sa révérence et je pars au stand de merch acheter Memorial en édition dédicacée. Mais c’est chez Terra que je vais casser ma tirelire. J’y prend le combo deux CDs et une teeshirt (la totale quoi), parce que les italiens m’ont vraiment impressionnés. Je me retrouve avec même album en version acoustique et éclectique, un CD coincé entre deux planches en bois retenues entre elles par des aimants. Je n’avais rien de tel dans ma collection.

Ce fut une fabuleuse soirée même si Molybaron ne m’a pas emballé outre mesure.

Le prochain concert est programmé le 18 novembre Chez Paulette pour écouter Plus 33 et Amarock, une date à ne pas manquer organisée par mes amis de ArpegiA.

Le bassin

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Il y a quelques mois, j’ai fait une sortie sur la presqu’île Malraux à Strasbourg avec d’autres photographes. Objectif, architecture. Le site comporte en effet de nombreuses réalisations modernes qui peuvent chatouiller l’oeil du photographe. Le site offre également de nombreuses perspectives intéressantes ainsi qu’un bassin et quelques tours.

Une de mes premières photos fut pour ce bassin.

Au départ je recherchais une perspective avant le découvrir ces détritus flottant à la surface de l’eau. Je me suis dit que cela pourrait être une premier plan pour une photographie d’architecture moderne. J’ai longtemps hésité sur le développement, couleur, noir et blanc, atténuation de l’arrière plan, pour finalement revenir à ma technique préférée, un monochrome très contrasté avec beaucoup de clarté et un ciel très assombri.

Nikon Z6 II, Nikkor Z 24-70 mm 2.8, 1/80s, f/11, ISO 100, 24.5 mm

Bruce Soord – luminescence

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Vous connaissez forcément Bruce Soord, le chanteur et guitariste de The Pineapple Thief.

Mais connaissez-vous Bruce Soord, l’artiste solo ? Bruce vient de sortir son troisième album Luminescence chez Kscope, douze titres de trois à quatre minutes pour une durée totale inférieure à trois quart d’heure.

Contrairement à pas mal de monde, je préfère Bruce Soord en solo à The Pineapple Thief. Je trouve son univers musical personnel beaucoup plus épuré et intimiste.

Luminescence est un album joué principalement à la guitare et au chant avec quelques arrangements à cordes pour étoffer l’ensemble signés Andrew Skeet de The Divine Comedy.

L’album aborde la difficulté de trouver une forme de paix intérieure dans les grandes villes de nos jours. Pour illustrer cela, de nombreux enregistrements de bruits urbains accompagnent les morceaux. Sirènes, trafic automobile, bruit de fond, freins de bus, hélicoptère en approche, cris d’enfants, avion passant dans le ciel, des enregistrements réalisés par Bruce lors de ses tournées de par le monde.

Bruce apparaît en gros plan sur la pochette bleue, barbu, les yeux clos, les traits détendus, comme en pleine méditation. Une image qui correspond bien à cet artiste abordable, humble et gentil que j’ai eu la chance de rencontrer à plusieurs reprises.

Comme dit plus haut, pour la musique, ce sont les guitares de Bruce et le chant qui dominent avec des arrangements à cordes plus ou moins présents comme dans ‘find peace’, des bruits de ville, une peu de batterie probablement programmée et de l’électro comme dans l’unique instrumental de l’album très justement intitulé ‘rushing’.  On trouve également quelques touches électroniques dans ‘lie flat’ ou ’nestle in’ mais cela reste relativement anecdotique.

Mon titre favori est le single ‘dear life’ au clip bucolique filmé au coucher du soleil dans des champs de graminées à la fin de l’été. Une ode à la vie avec tout ce qu’elle comporte, l’amour comme la mort. J’aime également beaucoup ‘so simple’, un morceau très épuré où les arrangements se font lointains. Mais pour tout vous dire, j’aime chaque morceau de cet album.

Luminescence ne s’écoute qu’à des moments privilégiés car sa musique ne s’impose pas à vous comme certaines compositions plus grandiloquentes. Il faut être préparé à se poser quarante minutes au calme pour partager l’intimité de Bruce Soord et se satisfaire de quelques accords de guitare et de sa voix fragile.

Je n’ai au final qu’un seul reproche à formuler sur Luminescence, c’est la fin un peu abrupte du morceau ‘find peace’ qui conclut l’album. J’ai tellement envie que cela dure que j’attends toujours le titre suivant lorsque tout s’achève.

Les esprits chagrins pourront reprocher au nouveau Bruce Soord d’être sans grande surprise mais je ne pense pas que l’on écoute cet artiste pour être malmené, bien au contraire. A écouter d’urgence, d’autant que vous pouvez le trouver sur Bandcamp.

Paysages de Sardaigne – le phare

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J’ai toujours été fasciné par les phares et la Sardaigne n’en manque pas. Celui-c- se situe sur la Punta Sardegna, une promenade que nous avons faite au coucher du soleil. Je voulais prendre le phare en photo, mais vu du bord de la mer je n’avais pas le bon angle. C’est en explorant les lieux que j’ai trouvé un chemin qui remontait vers le sommet de la pointe, me conduisant aux ruines d’un ancien phare à partir desquelles j’avais une vue imprenable sur le phare et la mer.

Je n’ai pas pu attendre que la lumière soit parfaite pour prendre la photo car mon épouse m’attendais plus bas depuis un petit moment et que j’étais venu pour faire des photos de coucher de soleil. Il n’empêche que c’est cette image que je garderais de la promenade.

Nikon Z8, Niikor Z 24-200 mm, 1/30 s, f/11, ISO 100, 25,5 mm

Un marché public

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Les ouvriers s’installent pour deux semaines de travaux avec leur Senseo dans la cuisine.

Après un premier café le camion arrive. 750 kilos sur une palette oscillent dangereusement de droite à gauche, le livreur nous donne quelques sueurs froides mais tout arrive à bon port.

La grue ne tarde pas à faire son entrée dans la danse, un énorme camion grue qui agrippe la chaudière par deux petits crochets situés à son sommet. Les câbles soulèvent la machine mais les crochets lâchent et l’ensemble tombe brutalement par terre. Une chaudière neuve à vingt mille euros.

Avec des sangles cette fois, le lourd cylindre est approché de la porte de la chaufferie, la manœuvre est délicate et dangereuse, trois techniciens s’activent, mais rien à faire, il ne rentre pas, le cylindre est deux centimètres trop large.

La chaudière est déposée et désossée pour une troisième tentative, cette fois-ci réussie. Reste à faire rentrer le ballon de mille litres maintenant.

Mais qu’est-ce donc que ces deux traits circulaires parallèles espacés de cinquante centimètres sur le cylindre du ballon ? Un employé s’approche avec une meule et commence à le découper en suivant les traits. Le ballon est trop haut pour la pièce. On lui ampute deux cent cinquante litres au passage pour le souder à l’arrache sur le macadam du chantier.

En relisant les préconisations du bureau d’études, on trouve bien un ballon tampon de mille litres mais le chauffagiste assure que tout ira bien. Et la garantie sur le ballon ?

Pour un premier jour de chantier, nous avons eu droit à la totale, d’autant qu’aucun plan de prévention n’avait été signé par l’entreprise. La chaudière est tombée pendant son grutage, le ballon a été amputé d’un bon quart de sa capacité.

Quinze jours plus tard, je suis revenu pour la mise en service de la machine.

La société vérifiant l’installation de la chaudière a tout d’abord constaté quelques problèmes : il manquait une sonde sur le ballon tampon, un capteur était branché sur le mauvais contacteur et quatre vis sans fin manquaient dans le corps de chauffe.

A l’allumage, le disjoncteur de la chaufferie à sauté un nombre incalculable de fois. Il y avait quelque part un court circuit. L’expert a tout décâblé et testé les circuits un par un. C’est là qu’il a découvert que la pompe principale du circuit ne fonctionnait pas. Les plombs de celle-ci étaient grillés. A la fin, la chaudière s’est remise en route et on ne sait toujours pas ce qui s’est vraiment passé.

Une fois la chaudière en chauffe, une pompe aurait dû s’actionner pour remplir le abllon tampon de mille, non pardon, sept cent cinquante litres, mais après bien des recherches, il est apparut qu’une valve anti retour avait été monté à l’envers. L’opération de mise en service aura duré près de cinq heures et le lendemain, un des radiateurs du centre ne fonctionnait toujours pas, tout cela parce que le circuit n’avait pas été correctement purgé.

On appelle cela un marché public à soixante dix mille euros. C’est ce que nous payons avec vos impôts.

Paysages de Sardaigne – l’arbre

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Au cour de nos promenades nurahiques, nous avons parcouru la campagne de Sardaigne dans des paysages très différents, des prairies, le bord de mer et la montagne. Nous sommes ici près d’Arzachena, pays des chênes liège, sur un chemin conduisant à une tombe de géant.

Cet arbre au sommet d’une Coline, manifestement courbé pas le vent, m’a tout de suite inspiré. Hélas, je me trouvais derrière une haie assez dense et infranchssable qui ne me permettait pas d’avoir, du moins sous cet angle, un champ dégagé. Alors j’ai pris le parti d’utiliser la haie comme cadre pour cet arbre faute de pouvoir faire autrement.

J’ai longtemps hésité entre un traitement noir et blanc ou couleurs saturées pour développer la photographie. Finalement j’ai opté pour la couleur même si cela révèle des flairs sur la gauche de l’image.

Nikon Z8, Nikkor Z 24-200 mm, 1/125s, f/6.3, ISO 72, 89 mm

Ahsoka

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Difficile d’échapper à la nouvelle série Star Wars Ahsoka. Huit épisodes qui appellent une suite bien évidemment dans l’univers inventé par Georges Lucas, il y a très longtemps dans une lointaine galaxie.

Je crois que l’on découvre Ahsoka pour la première fois dans le dessin animé Clone Wars. Elle apparaît ensuite de temps en temps comme dans les séries Star Wars de Disney et j’imagine dans la série animée Clone Wars que je n’ai jamais visionnée.

Pour tout vous dire, j’ai adoré trois personnages : l’amiral Thrawn, absolument grandiose dans son calme olympien même face à la défaite, Ahsoka, pleine de sagesse et de contradictions et son robot Huyang assez savoureux. Sabine, la padawan d’Ahsoka m’a immédiatement agacée et plus j’avançais dans les épisodes, plus elle me tapait sur le système.

L’histoire ne m’a pas franchement emballé mais je regarderai la série une seconde fois pour me faire une nouvelle opinion car j’ai remarqué qu’avec Star Wars Disney, la première n’était pas souvent la bonne. Ahsoka et Sabine partent à la recherche du maître Jedi Ezra à l’aide d’une carte tombée entre les mains des méchants, vagues résurgences de l’Empire effondré.

Par contre, visuellement, comme souvent dans l’univers Star Wars, ça le fait vraiment. Bon on n’échappe pas aux inévitables petites bestioles destinées à vendre du merch mais on a connu pire dans le genre, surtout que pour une fois, elles sont amusantes ces tortues ninja.

Ahsoka est donc regardante contrairement à d’autres séries de la saga, on verra ce que donnera la suite.